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Meurtre de Louise dans l’Essonne : le suspect, mis en examen, voulait « racketter une personne pour se calmer »
2025-02-14
IDOPRESS
Dans le bois des Templiers,à côté du lieu où a été retrouvé le corps de la petite Louise,à Longjumeau (Essonne),le 8 février 2025. JULIEN DE ROSA/AFP Cinq jours après le meurtre de la petite Louise,11 ans,le parquet d’Evry a annoncé la mise en examen et le placement en détention provisoire du principal suspect. Après plus de vingt-quatre heures de garde à vue,Owen L.,âgé de 23 ans,a avouéavoir tué l’enfant,selon le récit du procureur Grégoire Dulin fait au cours d’une conférence de presse organisée mercredi 12 février.
La compagne d’Owen L. a,elle,été mise en examen pour non-dénonciation de crime et placée sous contrôle judiciaire. Les parents du mis en cause ont,eux,été libérés sans poursuites après presque deux jours de garde à vue,a ajouté le procureur de la République d’Evry.
Vendredi 7 février,la fillette,en classe de 6e,a terminé les cours à 13 h 50. Depuis le collège André-Maurois d’Epinay-sur-Orge (Essonne),il lui faut en temps normal onze minutes pour rentrer chez elle. Ne la voyant pas arriver,sa mère s’est rapidement inquiétée. Après avoir appelé le 17,elle s’est présentée au commissariat de Savigny-sur-Orge (Essonne) à 16 heures.
Dans la soirée,policiers,gendarmes et pompiers,appuyés par des chiens,ainsi qu’un hélicoptère et un drone équipés de caméras thermiques,entreprennent des recherches. C’est peu avant 2 heures que les enquêteurs retrouvent le corps de l’enfant,dans un bois situé à quelques centaines de mètres du domicile familial. L’autopsie,réalisée samedi,a permis d’exclure « la commission de violences sexuelles »,mais « relevait la présence (…) de très nombreuses plaies commises avec un objet tranchant dans plusieurs zones vitales »,témoignant de « l’extrême violence des coups portés ».
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