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Vingt ans après la loi handicap de 2005, les associations exhortent à la rendre effective par des sanctions
2025-01-15
IDOPRESS
Un homme en fauteuil roulant participe à une manifestation organisée par l’Association des paralysés de France,pour appeler à améliorer l’accessibilité pour les personnes handicapées,à Nantes,le 11 février 2015. JEAN-SEBASTIEN EVRARD/AFP La loi existe,appliquons-la. Tel est le message porté par le Collectif Handicaps,alors que la loi du 11 février 2005 « pour l’égalité des droits et des chances,la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » célèbre ses 20 ans. Arnaud de Broca,président de ce regroupement de 54 associations,a salué,mardi 14 janvier devant la presse,l’ambition de cette « grande loi de la République »,votée sous l’impulsion de Jacques Chirac,alors président de la République,après deux ans de travaux préparatoires,de longs débats parlementaires et des compromis transpartisans. Cette loi a « suscité beaucoup d’espoirs »,mais a aussi été « détricotée »,selon le collectif.
Mardi,dans sa déclaration de politique générale,le premier ministre,François Bayrou,a évoqué ce texte majeur,en appelant à « poursuivre la mobilisation de l’ensemble du gouvernement autour de la politique du handicap » et à réunir « dans les meilleurs délais » un comité interministériel du handicap. Il s’est engagé à prendre une mesure concrète,le remboursement intégral des fauteuils roulants dès 2025 par l’Assurance-maladie – votée à l’unanimité par les députés,à la fin de 2024.
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