LePlusRécent
-
Gaëtan Bruel, président du Centre national du cinéma et de l’image animée : « Notre modèle culturel est attaqué parce qu’il est redouté »
-
Les Etats-Unis signent un premier accord douanier avec le Royaume-Uni
-
L’œnotourisme, une manne au secours du vignoble français
-
Droits de douane : pas à pas, l’Union européenne construit sa riposte très graduée
Stress post-traumatique : le rôle de la plasticité cérébrale
2025-01-09
IDOPRESS
Dix ans après les attentats terroristes de janvier 2015 – contre Charlie Hebdo à Paris,à Montrouge (Hauts-de-Seine) puis à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes – et près de dix ans après ceux du 13 novembre 2015,les marques restent encore vivaces pour de nombreux survivants. Dont certains ont développé un trouble de stress post-traumatique (TSPT).
Chez les personnes atteintes de ce trouble,les « mécanismes de contrôle » de la mémoire – qui permettent d’oublier ou de mettre à distance des pensées ou des souvenirs qui interfèrent ou envahissent votre esprit et vous empêchent de fonctionner – ne parviennent pas à inhiber l’activité de l’hippocampe permettant aux souvenirs intrusifs de resurgir.
Il vous reste 56.96% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.